petit rappel ,pour belles economies
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petit rappel ,pour belles economies
a l'approche des mauvais jrs et de l'augmentation des prix des differentes energies
Vous pouvez gagner, facilement, 620 € par an
LES petits gestes au quotidien et les grands travaux (isolation, chaudière, etc.) peuvent rapporter vraiment gros.
• L’addition.
– Éteindre sa télé et son magnétoscope=23€ de gagnés par an.
– Bien remplir sa machine à laver, utiliser les cycles « éco » et basses températures=37€.
– Prendre une douche plutôt qu’un bain, traquer les fuites et bien équiper sa chasse d’eau=381€.
– Bien s’éclairer et bien se chauffer=152€.
– Dégivrer régulièrement son réfrigérateur=27€.
Total des économies réalisées: 620€ sur l’année.
• Bien chauffer et se chauffer.
Le chauffage et la production d’eau chaude représentent 70% de la facture d’énergie des ménages français.
– S’équiper d’un thermostat programmable et de robinets thermostatiques=10 à 20% d’énergie gagnée.
– Faire entretenir ses appareils de chauffage=- 8 à 12% d’énergie.
– Choisir une chaudière basse température=5 à 10% d’économie; une chaudière à condensation, de 10 à 15% par an comparé à une chaudière moderne standard. Or en France, aujourd’hui, plus de trois millions de chaudières ont plus de 20 ans: par rapport à une chaudière des années 80, cette économie d’énergie peut ainsi monter jusqu’à 40%. L’achat d’une chaudière à condensation ouvre droit à un crédit d’impôt de 25%, 15% pour une chaudière basse température.
– Établir un contrat d’entretien de sa chaudière, c’est une durée de vie deux à trois fois plus longue, cinq fois moins de pannes.
– Régler la température de sa chaudière entre 55 et 60°.
– Opter pour le solaire, l’économie peut monter jusqu’à 70%, selon les besoins du ménage. L’installation et l’achat des panneaux solaires coûtent encore cher mais ils ouvrent droit à un crédit d’impôt, jusqu’en décembre2009, de 50% des dépenses.
• Isolez, c’est gagné. Une bonne isolation peut réduire par trois ou quatre la consommation du ménage.
Une bonne isolation du toit et des murs=10 à 30% d’énergie consommée en moins; des fenêtres à double vitrage=10% (vérifier régulièrement l’étanchéité aux fenêtres), des sols=7%.
– Depuis le 1erjanvier dernier, un crédit d’impôt de 25% est accordé pour l’achat de matériaux d’isolation thermique.
– Vous vous chauffez au bois, un appareil labellisé Flamme verte économise 30% de bois de chauffage par rapport à un appareil classique.
– L’isolation, c’est aussi des volets, efficaces été comme hiver contre le soleil (ils retarder la mise en route de la climatisation) ou le froid.
Vous pouvez gagner, facilement, 620 € par an
LES petits gestes au quotidien et les grands travaux (isolation, chaudière, etc.) peuvent rapporter vraiment gros.
• L’addition.
– Éteindre sa télé et son magnétoscope=23€ de gagnés par an.
– Bien remplir sa machine à laver, utiliser les cycles « éco » et basses températures=37€.
– Prendre une douche plutôt qu’un bain, traquer les fuites et bien équiper sa chasse d’eau=381€.
– Bien s’éclairer et bien se chauffer=152€.
– Dégivrer régulièrement son réfrigérateur=27€.
Total des économies réalisées: 620€ sur l’année.
• Bien chauffer et se chauffer.
Le chauffage et la production d’eau chaude représentent 70% de la facture d’énergie des ménages français.
– S’équiper d’un thermostat programmable et de robinets thermostatiques=10 à 20% d’énergie gagnée.
– Faire entretenir ses appareils de chauffage=- 8 à 12% d’énergie.
– Choisir une chaudière basse température=5 à 10% d’économie; une chaudière à condensation, de 10 à 15% par an comparé à une chaudière moderne standard. Or en France, aujourd’hui, plus de trois millions de chaudières ont plus de 20 ans: par rapport à une chaudière des années 80, cette économie d’énergie peut ainsi monter jusqu’à 40%. L’achat d’une chaudière à condensation ouvre droit à un crédit d’impôt de 25%, 15% pour une chaudière basse température.
– Établir un contrat d’entretien de sa chaudière, c’est une durée de vie deux à trois fois plus longue, cinq fois moins de pannes.
– Régler la température de sa chaudière entre 55 et 60°.
– Opter pour le solaire, l’économie peut monter jusqu’à 70%, selon les besoins du ménage. L’installation et l’achat des panneaux solaires coûtent encore cher mais ils ouvrent droit à un crédit d’impôt, jusqu’en décembre2009, de 50% des dépenses.
• Isolez, c’est gagné. Une bonne isolation peut réduire par trois ou quatre la consommation du ménage.
Une bonne isolation du toit et des murs=10 à 30% d’énergie consommée en moins; des fenêtres à double vitrage=10% (vérifier régulièrement l’étanchéité aux fenêtres), des sols=7%.
– Depuis le 1erjanvier dernier, un crédit d’impôt de 25% est accordé pour l’achat de matériaux d’isolation thermique.
– Vous vous chauffez au bois, un appareil labellisé Flamme verte économise 30% de bois de chauffage par rapport à un appareil classique.
– L’isolation, c’est aussi des volets, efficaces été comme hiver contre le soleil (ils retarder la mise en route de la climatisation) ou le froid.
olhaf- grand reporter
- Nombre de messages : 65
Localisation : cambrai
Date d'inscription : 13/09/2005
Re: petit rappel ,pour belles economies
Je comprends pas pourquoi ma facture ne fait qu'augmenter alors que j'applique la majorité des conseils donnés sur la dernière il y a écrit en bas en petit : prix moyen suite au changement de prix du 01/09/05
lancresse- je vais devoir réfléchir…
- Nombre de messages : 791
Localisation : Vendée
Date d'inscription : 14/09/2005
Re: petit rappel ,pour belles economies
tu te trompes Le prix c'est en bas à droite en haut c'est la date c'est pour ça que ça augmente tous les jours (merci Mr Magdane)
prix de l'or noir
Prix du carburant en France: les firmes pétrolières convoquées à Bercy
cliquez pour agrandirThierry Breton (D) et Jean-François Copé (G) installent jeudi 15 septembre une commission de transparence sur la fiscalité pétrolière
Les groupes pétroliers, mis sous pression par le gouvernement depuis une semaine pour réduire les prix des carburants, sont convoqués vendredi après-midi à Bercy pour faire des propositions au ministre de l'Economie, Thierry Breton, alors que le marché mondial du brut se détend.
Les groupes pétroliers, mis sous pression par le gouvernement depuis une semaine pour réduire les prix des carburants, sont convoqués vendredi après-midi à Bercy pour faire des propositions au ministre de l'Economie, Thierry Breton, alors que le marché mondial du brut se détend.
C'est la première fois que le gouvernement demande avec une telle insistance, y compris avec des menaces de taxes ou de contributions supplémentaires, un engagement des firmes pétrolières dans la lutte contre la hausse des prix à la pompe, qui ont récemment atteint des prix historiques dans le sillage des prix du baril de brut.
M. Breton devrait, lors de cette rencontre à 16h00 largement médiatisée, réclamer aux pétroliers et aux grands distributeurs de "réfléchir à des engagements volontaires de modération des prix" pour "une baisse plus immédiate quand le brut baisse".
Il souhaite aussi qu'en cas de hausse des cours soit "institué un délai avant de la répercuter pour voir si elle est durable ou uniquement spéculative", expliquait-il jeudi au quotidien La Tribune.
Le patron des centres E.Leclerc, Michel-Edouard Leclerc, regrette vendredi dans Libération que la réunion de vendredi occulte une partie du débat. "L'Etat refuse en effet de se poser la question d'une baisse de la TIPP (taxe intérieure sur les produits pétroliers), qui se traduirait pour lui par un manque à gagner", affirme-t-il.
Le ministre délégué à l'Industrie, François Loos, réclame pour sa part aux compagnies "un plan visible d'accélération des investissements", notamment une augmentation de leur capacités d'exploration et de raffinage.
M. Loos a jugé vendredi sur RTL que les groupes avaient "une rente de situation", qui leur confère une "responsabilité pour préparer ce qui vient derrière. Et cette préparation de ce qui vient derrière, jusqu'à présent c'est nous qui avons investi dans la recherche, c'est nous qui avons pris les décisions pour faire plus de biocarburants, c'est nous qui avons dit que nous allons faire 75 euros pour le fioul", a-t-il insisté.
Depuis le début de la semaine dernière, les marchés pétroliers internationaux se sont toutefois détendus avec la remise en service de plusieurs raffineries américaines endommagées par le cyclone Katrina, entraînant une baisse sensible des prix des carburants en France.
Le prix au litre a baissé en moyenne de 2 centimes en une semaine, selon le ministère, après des mois d'envolée: depuis janvier, le prix à la pompe a grimpé de 15 centimes pour le gazole et de 20 centimes pour le super sans plomb. Le baril de brut a lui chuté autour des 63 dollars au lieu de 70 le 30 août, soit 10% de baisse.
Le geste des compagnies ne suffit pas au gouvernement. Après avoir menacé la semaine dernière les groupes d'une "taxe exceptionnelle" s'ils ne se comportaient pas en "entreprises citoyennes", en baissant par exemple le prix des carburants, M. Breton les a enjoint mercredi à répercuter "immédiatement" les baisses des cours du brut sur les étiquettes des stations-service.
Durcissant le ton, le ministre de l'Economie a demandé aux entreprises "de ne pas garder pour elles" la baisse des cours internationaux du brut, se disant même prêt à sévir dans le cas contraire.
Le président Jacques Chirac a lui-même pris le dossier en main en demandant mardi aux entreprises du secteur pétrolier d'"accentuer fortement le mouvement indispensable de baisse des prix à la pompe".
PARIS (AFP) © 2005 AFP
cliquez pour agrandirThierry Breton (D) et Jean-François Copé (G) installent jeudi 15 septembre une commission de transparence sur la fiscalité pétrolière
Les groupes pétroliers, mis sous pression par le gouvernement depuis une semaine pour réduire les prix des carburants, sont convoqués vendredi après-midi à Bercy pour faire des propositions au ministre de l'Economie, Thierry Breton, alors que le marché mondial du brut se détend.
Les groupes pétroliers, mis sous pression par le gouvernement depuis une semaine pour réduire les prix des carburants, sont convoqués vendredi après-midi à Bercy pour faire des propositions au ministre de l'Economie, Thierry Breton, alors que le marché mondial du brut se détend.
C'est la première fois que le gouvernement demande avec une telle insistance, y compris avec des menaces de taxes ou de contributions supplémentaires, un engagement des firmes pétrolières dans la lutte contre la hausse des prix à la pompe, qui ont récemment atteint des prix historiques dans le sillage des prix du baril de brut.
M. Breton devrait, lors de cette rencontre à 16h00 largement médiatisée, réclamer aux pétroliers et aux grands distributeurs de "réfléchir à des engagements volontaires de modération des prix" pour "une baisse plus immédiate quand le brut baisse".
Il souhaite aussi qu'en cas de hausse des cours soit "institué un délai avant de la répercuter pour voir si elle est durable ou uniquement spéculative", expliquait-il jeudi au quotidien La Tribune.
Le patron des centres E.Leclerc, Michel-Edouard Leclerc, regrette vendredi dans Libération que la réunion de vendredi occulte une partie du débat. "L'Etat refuse en effet de se poser la question d'une baisse de la TIPP (taxe intérieure sur les produits pétroliers), qui se traduirait pour lui par un manque à gagner", affirme-t-il.
Le ministre délégué à l'Industrie, François Loos, réclame pour sa part aux compagnies "un plan visible d'accélération des investissements", notamment une augmentation de leur capacités d'exploration et de raffinage.
M. Loos a jugé vendredi sur RTL que les groupes avaient "une rente de situation", qui leur confère une "responsabilité pour préparer ce qui vient derrière. Et cette préparation de ce qui vient derrière, jusqu'à présent c'est nous qui avons investi dans la recherche, c'est nous qui avons pris les décisions pour faire plus de biocarburants, c'est nous qui avons dit que nous allons faire 75 euros pour le fioul", a-t-il insisté.
Depuis le début de la semaine dernière, les marchés pétroliers internationaux se sont toutefois détendus avec la remise en service de plusieurs raffineries américaines endommagées par le cyclone Katrina, entraînant une baisse sensible des prix des carburants en France.
Le prix au litre a baissé en moyenne de 2 centimes en une semaine, selon le ministère, après des mois d'envolée: depuis janvier, le prix à la pompe a grimpé de 15 centimes pour le gazole et de 20 centimes pour le super sans plomb. Le baril de brut a lui chuté autour des 63 dollars au lieu de 70 le 30 août, soit 10% de baisse.
Le geste des compagnies ne suffit pas au gouvernement. Après avoir menacé la semaine dernière les groupes d'une "taxe exceptionnelle" s'ils ne se comportaient pas en "entreprises citoyennes", en baissant par exemple le prix des carburants, M. Breton les a enjoint mercredi à répercuter "immédiatement" les baisses des cours du brut sur les étiquettes des stations-service.
Durcissant le ton, le ministre de l'Economie a demandé aux entreprises "de ne pas garder pour elles" la baisse des cours internationaux du brut, se disant même prêt à sévir dans le cas contraire.
Le président Jacques Chirac a lui-même pris le dossier en main en demandant mardi aux entreprises du secteur pétrolier d'"accentuer fortement le mouvement indispensable de baisse des prix à la pompe".
PARIS (AFP) © 2005 AFP
olhaf- grand reporter
- Nombre de messages : 65
Localisation : cambrai
Date d'inscription : 13/09/2005
Re: petit rappel ,pour belles economies
'tain, et dire que j'avais fait un post spécial "carburants" sur l'ancien forum, j'suis
Dernière édition par le Ven 16 Sep 2005 - 16:27, édité 1 fois
Re: petit rappel ,pour belles economies
va falloir t'en remettre moineau, c'est pas la fin du monde…!
Re: petit rappel ,pour belles economies
mat a écrit:va falloir t'en remettre moineau, c'est pas la fin du monde…!
bien sur que je m'en remettrai ! je n'ai d'ailleurs jamais dit le contraire... mais ça n'empêche pas d'être énervé !
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